Titre : | Le violon d'Auschwitz : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Maria Àngels Anglada (1930-1999), Auteur ; Marianne Millon, Traducteur | Editeur : | Paris : Stock | Année de publication : | 2009 | Collection : | La cosmopolite | Importance : | 1 vol. (139 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-234-06248-1 | Prix : | 16 € | Langues : | Français (fre) Langues originales : Catalan (cat) | Résumé : | Auschwitz, 1944. Les privations et les coups. Les humiliations s'enchaînent, les hommes sont traités comme des chiens, déshumanisés, ils n'existent aux yeux de leurs persécuteurs que comme des numéros échangeables, de la main-d’œuvre peu chère. Un prisonnier juif, Daniel, y lutte pour la survie de son âme. Surprenant un concert organisé par Sauckel, le commandant du camp passionné de musique classique, Daniel révèle son talent de luthier pour sauver son ami Bronislaw, violoniste de génie. Il va alors être mis à l'épreuve et devoir construire un violon imitant le son d'un Stradivarius. Tentant d'oublier pour quelques instants la faim, le froid, l'horreur, Daniel comprend vite que de la construction de ce violon dépendent leurs vies. Tragique ironie du sort, il va ainsi éviter les expériences de Rasher, le médecin machiavélique. Mêlant subtilement réalité historique et fiction, les chapitres s'ouvrent sur des documents : lettres, rapports qui viennent interrompre le récit à la manière d'une pause glaçante. Petite et grande Histoire s'entremêlent et se fondent dans une danse fatale et poétique, entre la cruauté et la dignité, deux partenaires aussi rivaux qu'inséparables, pourtant inhérents à la nature humaine. |
Le violon d'Auschwitz : roman [texte imprimé] / Maria Àngels Anglada (1930-1999), Auteur ; Marianne Millon, Traducteur . - Stock, 2009 . - 1 vol. (139 p.) : couv. ill. ; 20 cm. - ( La cosmopolite) . ISBN : 978-2-234-06248-1 : 16 € Langues : Français ( fre) Langues originales : Catalan ( cat) Résumé : | Auschwitz, 1944. Les privations et les coups. Les humiliations s'enchaînent, les hommes sont traités comme des chiens, déshumanisés, ils n'existent aux yeux de leurs persécuteurs que comme des numéros échangeables, de la main-d’œuvre peu chère. Un prisonnier juif, Daniel, y lutte pour la survie de son âme. Surprenant un concert organisé par Sauckel, le commandant du camp passionné de musique classique, Daniel révèle son talent de luthier pour sauver son ami Bronislaw, violoniste de génie. Il va alors être mis à l'épreuve et devoir construire un violon imitant le son d'un Stradivarius. Tentant d'oublier pour quelques instants la faim, le froid, l'horreur, Daniel comprend vite que de la construction de ce violon dépendent leurs vies. Tragique ironie du sort, il va ainsi éviter les expériences de Rasher, le médecin machiavélique. Mêlant subtilement réalité historique et fiction, les chapitres s'ouvrent sur des documents : lettres, rapports qui viennent interrompre le récit à la manière d'une pause glaçante. Petite et grande Histoire s'entremêlent et se fondent dans une danse fatale et poétique, entre la cruauté et la dignité, deux partenaires aussi rivaux qu'inséparables, pourtant inhérents à la nature humaine. |
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