Titre : | Retour en absurdie | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Stéphane De Groodt (1966-....), Auteur ; Christophe Debacq, Collaborateur | Editeur : | [Paris] : Plon | Année de publication : | impr. 2014 | Importance : | 1 vol. (177 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-259-22797-1 | Prix : | 15,90 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 848.920 2 (oeuvre) | Résumé : | Après Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt nous propose la suite de ses chroniques. En véritable jongleur de mots, talent qui lui a valu le prix Raymond-Devos, il nous invite à poursuivre ses rencontres aussi déjantées qu'improbables' Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l'atteint' Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui' Yoko Ono refusait que j'aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse-gueule, on la ramène pas' Charlot me répond avoir simplement réussi à trouver sa voie à une époque où le cinéma muait' C'est à Palo Alto que j'Atari car Steve Jobs a voulu dans la Silicone Caner. En bonus, le meilleur de son Courrier des téléspectateurs imaginaire livré dans La Matinale de Canal+. |
Retour en absurdie [texte imprimé] / Stéphane De Groodt (1966-....), Auteur ; Christophe Debacq, Collaborateur . - [Paris] : Plon, impr. 2014 . - 1 vol. (177 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm. ISBN : 978-2-259-22797-1 : 15,90 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 848.920 2 (oeuvre) | Résumé : | Après Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt nous propose la suite de ses chroniques. En véritable jongleur de mots, talent qui lui a valu le prix Raymond-Devos, il nous invite à poursuivre ses rencontres aussi déjantées qu'improbables' Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l'atteint' Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui' Yoko Ono refusait que j'aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse-gueule, on la ramène pas' Charlot me répond avoir simplement réussi à trouver sa voie à une époque où le cinéma muait' C'est à Palo Alto que j'Atari car Steve Jobs a voulu dans la Silicone Caner. En bonus, le meilleur de son Courrier des téléspectateurs imaginaire livré dans La Matinale de Canal+. |
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